Le Parti Communiste de Saint-Herblain considère déplacées les critiques faites par l’extrême gauche, les verts, et la droite LREM à l’égard de la gestion de la crise Sanitaire, assumée et maîtrisée par le Maire, les Services Municipaux et l’équipe restreinte d’Élu.e.s (dont font partie les Verts).

A ce stade, la situation sanitaire et économique en France, et la gestion faite par l’état, pourrait avant tout être critiquée, plutôt que de critiquer la gestion de celle-ci à la maille Municipale.

La pandémie de coronavirus place notre pays et l’ensemble de l’humanité face à d’immenses défis. A commencer par celui de sauver les vies menacées, de protéger toute la population. Elle révèle aussi une crise de civilisation profonde et les méfaits désastreux de décennies de libéralisme qui ont fragilisé nos services publics et notre industrie, et par conséquence notre capacité d’action face à la crise sanitaire.

La lutte contre le COVID-19 appelle à une mobilisation exceptionnelle immédiate. Elle exige aussi de transformer notre mode de développement, l’utilisation de l’argent et de créer de nouveaux pouvoirs d’intervention pour les travailleurs, afin d’éviter que cette situation ne se répète et de répondre aux immenses défis à relever.

C’est tout le sens des propositions que le Parti communiste français met en débat et dont vous trouverez un résumé dans les pages suivantes.

Pour lire l’ensemble du document et des propositions, c’est par ici.

En Loire-Atlantique comme ailleurs en France, de trop nombreux sites de production non essentiels restent ouverts au détriment de la situation sanitaire. Les communistes, leurs élu.e.s leur parlementaires sont pleinement mobilisés pour protéger les salarié.e.s.
Face à une crise sanitaire sans précédent dans l'histoire récente de notre pays, une part importante de notre population est confinée afin de limiter la propagation rapide du Covid-19. Mais beaucoup de salarié.e.s sont aussi les premiers au front pour répondre aux besoins vitaux de la population.

Une question s’est imposée a Nantes : Comment faire en sorte qu’à la crise sanitaire ne s’ajoute pas une crise humanitaire pour les personnes les plus fragiles et précaires ?

A cette question la Mairie apporte réponses et Moyens. La Maire de Nantes Johanna Rolland a rencontré les associations du domaine de l’aide alimentaire et a, avec son équipe, déclenché un dispositif exceptionnel pour concourir à cette aide.

Le premier tour de ces élections municipales s'est tenu dans la situation exceptionnelle de la crise sanitaire du coronavirus. Cela a évidemment pesé sur une abstention qui, à plus de 54%, s'avère historique.

La bataille municipale sur la région nantaise s’annonce comme un grand combat pour défendre et amplifier les politiques populaires mises en place par la gauche depuis six ans. Dans cette lutte, les communistes remplissent leur mission en portant le drapeau de l’unité face aux ambitions de la droite et de ceux qui rêvent d’une gauche divisée.

  • Liste avec des Communistes en Loire-Atlantique 44
Partout en France, dans les campagnes et les villes, les militantes et militants communistes sont mobilisés pour faire avancer les idées de progrès.
Ils travaillent depuis plusieurs mois avec les citoyens de leur localité, souvent avec les autres formations politiques de gauche à la rédaction de propositions innovantes résolument tournées vers les réponses à apporter aux besoins de leurs concitoyens. 
 

Intervention de Marie-Annick BENATRE au conseil métropolitain du 13 décembre 2019 sur le nouveau règlement du Fonds de Solidarité Logement dans la métropole nantaise.

En conseil municipal de Nantes du 6 décembre 2019, à l'initiative du groupe communiste, les élus de notre majorité de gauche ont adopté un vœu appelant le gouvernement à entendre la colère des français et à construire un système de retraite qui organise les solidarités, l'égalité femmes/hommes à l'inverse de la réforme proposé.

Aujourd’hui déjà, plus de 140 femmes sont mortes sous les coups de leurs maris, conjoints ou anciens conjoints, bien souvent car elles n’ont pas été mises à l’abri à temps et ce, malgré leurs alertes. Pour Aymeric SEASSAU, ce chiffre traduit la persistance d’une violence de genre inacceptable dans notre société. La mobilisation de nos concitoyens le 25 novembre dernier trouve un écho dans le centre post-traumatique Citad’elles inauguré le même jour. Ce centre, unique en France, est le résultat d’une démarche de coopération entre la ville, les acteurs associatifs et les services de l’État.

Le groupe communiste votera une nouvelle fois contre cette délibération, comme il le fait depuis 2014 au sujet de l’ouverture des commerces les dimanches avant Noël. Pour Jean-Jacques MOREAU, le dimanche doit rester un jour commun chômé, extrait des logiques marchandes, permettant de préserver les liens sociaux, familiaux ou encore associatifs. Ces liens sont une source de solidarité et d’engagement dans la vie de la cité dont notre société a plus que jamais besoin.

En octobre, le Conseil national du PCF a acté un ensemble de propositions en vue de structurer son activité au sein des entreprises. C’est Aymeric Seassau secrétaire de la fédération de Loire Atlantique et membre du CEN en charge « des lieux de travail et des entreprises » qui présentait le rapport sur les enjeux pour « reprendre pied dans les lieux de travail » ainsi qu’un ensemble de propositions pour y parvenir.
Loin de nier les difficultés liées à l’implantation militante dans les entreprises, l’activité des communistes demeure dans nombre d’entre elles, reste à créer les conditions d’un nouveau dynamisme et de nouvelles implantations dans les départements.

Comme le constate Aymeric Seassau dans son rapport, le monde du travail a considérablement évolué : « de grands mouvements sont venus bouleverser les modes de production, conjointement à une extrême financiarisation de l’économie : externalisation, sous-traitance, casse des grandes unités de production, informatisation, gains de productivité captés par les actionnaires plus que par les travailleurs, révolution informationnelle et robotisation aujourd’hui avec un capitalisme de plateforme comme un cancer réinventant le travail à la tâche. » Sans compter comme il l’évoque les coups de boutoir récurrents à l’encontre du droit du travail, mais aussi les choix politiques et économiques qui ont conduit à la désindustrialisation du pays (165 emplois industriels détruits chaque jour en moyenne depuis 2001).

Pour autant, malgré les évolutions (négatives) et les diverses attaques contre les droits des travailleurs, les communistes « assument vouloir à la fois un travail émancipateur et l’accroissement des temps émancipés de travail », de quoi provoquer une attaque à tout dirigeant du Medef. Ces mêmes dirigeants qui, bien malgré eux, sont confrontés à l’activité syndicale ou politique dans leurs entreprises. Depuis toujours, le PCF se structure dans les lieux de travail, on compte encore de nombreuses cellules à la SNCF, à la Poste, dans les hôpitaux, chez les salariés de la chimie ou encore parmi les territoriaux, les enseignants ou les portuaires.

Pour parfaire à cette organisation le Conseil national du PCF a adopté à l’unanimité un ensemble de 10 propositions parmi lesquelles la désignation d’un responsable aux entreprises dans chaque fédération, la mise à disposition d’outils militants, d’actions spécifiques en direction des entreprises, des rencontres avec les acteurs syndicaux, une veille sur l’évolution du travail et des entreprises… Déjà, des structures nationales se mettent en place par secteur d’activité et une conférence nationale sera organisée à l’automne 2020 après des initiatives décentralisées dans chaque département.

Nantes Métropole connaît un dynamisme certain et les services publics ont été éprouvés, les prix de l’immobilier ont bondi. Cette progression se poursuivra car 100 000 habitants devraient s’installer d’ici 2030. Notre ville affronte l'accélération de la gentrification, accompagnée d'une montée en puissance de multinationales qui imposent leur loi, auxquelles les pouvoirs nationaux refusent de s'attaquer. Si Nantes demeure une ville où il fait bon vivre, nous voulons ouvrir une trajectoire nouvelle pour une ville populaire et accueillante. Pour les 6 années qui viennent, nous avons l’ambition de définir un nouveau cap pour la ville permettant d’accueillir les futurs nantais, d’améliorer la qualité de vie et de répondre aux besoins immédiats d'aujourd’hui et de demain en terme de transports, de logements, de sécurité, de solidarité, de services publics. Ces 100 propositions pour une ville solidaire et populaire sont là pour atteindre ces objectifs.

Emmanuel Macron et Edouard Philippe, en lien avec le MEDEF, veulent mettre un terme au système de retraites par répartition. Travailler plus longtemps pour finir par toucher des pensions en forte baisse, voilà le nouveau régime de souffrances qu'ils veulent infliger aux salariés actuels et futurs. C'est une attaque sans précédent contre la sécurité sociale. Elle nous oblige à la mobilisation la plus large pour mettre en échec le pouvoir.

Jean-Jacques MOREAU, a indiqué que l'alimentation, comme l'eau, sont nécessaires à la vie et doivent être pensés comme des communs. Des millions de personnes en sont privées tandis qu'augmentent des maladies chroniques dues à la mal-bouffe. L'alimentation doit être appréhendée dans son ensemble, « de la fourche à la fourchette », afin de répondre à la satisfaction des besoins d'une alimentation saine et accessible à tous.

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