Meeting à Nantes : Fabien fait salle comble

Lundi 21 mars à 18h : ils sont plus de 1 500 à se presser aux portes de l’auditorium 800, venus des Pays de la Loire et de Bretagne. Devant une salle impatiente, l’un des musiciens souhaite « la bienvenue au pot de départ d’Emmanuel Macron » déclenchant les rires. Face à la morosité de la campagne présidentielle, communistes convaincus ou curieux indécis se côtoient pour écouter celui qui apporte une nouvelle approche, celui que l’on présente comme la « révélation » de cette élection.
Début de meeting placé sous le signe du rassemblement avec les interventions d’Aymeric Seassau, secrétaire départemental du PCF 44, de Fabienne Padovani, conseillère départementale socialiste, et de Liêm Hoang-Ngoc, membre de la Nouvelle Gauche socialiste, suivies de celles de Mathieu Pineau, secrétaire départemental de la CGT Énergie, et de Gilles Le Proust, maire d’Allonnes.

Fabien Roussel entre en scène : « Nous sommes rassemblés ici autour d’un bel espoir, c’est celui des Jours heureux, c’est celui d’un projet, c’est celui d’un avenir nouveau». Après avoir réaffirmé notre solidarité avec les Ukrainiens et les pacifistes russes, Fabien Roussel égrène les mesures de son projet en faveur des retraité.es « richesses de notre pays », de l’école de la République, des services publics, attaque le monde de la finance, évoque le scandale McKinsey, saluant au passage l’action d’Éliane Assassi, et promettant qu’avec lui « les cigares vont changer de bouche ».

Puis, place à l’importance de la culture « qui nous fait vibrer, pleurer, rire, essentielle pour le vivre ensemble », et lorsque Fabien demande justice pour Steve Maïa Caniço, l’émotion est à son comble. L’heure de la conclusion approche, le candidat lance les « Apéroussel » pour mobiliser jusqu’au dernier jour. 
Fin de meeting sur fond d’ambiance survoltée aux airs et paroles de « La Marseillaise » et de « L’Internationale », des yeux qui brillent, des sourires, du bonheur à l’état pur.